Analyse profonde de la presse féminine
Je préviens : aujourd’hui je suis mal lunée. Je suis partie de chez moi avec ma jupette il s’est mis à flotter alors que je n’avais pas fait 50 mètres, comme j’étais en retard je n’ai pas eu le temps de remonter mettre un jean; puis WordPress n’a conservé qu’une partie de ce billet que j’avais écrit hier soir, il m’a juste gardé les tags, l’image et les textes SEO et quelques phrases écrites hier dans le métro. Putain. J’ai juste envie de tout envoyer en l’air, tout m’emmerde. Je réécris quand même cet article de blog parce 1/ j’ai que ça à foutre (enfin, façon de parler) 2/ je me sens inspirée malgré tout.
Nous (enfin surtout moi) allons aujourd’hui parler des torchons de la presse féminine. Le fait que je sois de mauvais poil n’altère pas mon jugement sur ces revues. Même quand je suis dans un bon jour je n’aime pas ces magazines.
Rapide état des lieux :