A une époque, il y a dix ans de cela, je regardais pas mal de séries. J’ai arrêté en passant la moitié de l’année dans des zones où même une visio peut être compliquée à cause de la connexion satellite. L’été dernier, la station était équipée de Starlink ; on n’a jamais eu une connexion aussi merdique. #VsatForever. Bref, je ne regarde plus de séries.
La semaine dernière, alors que j’étais dans le Nord de l’Europe dans une chambre d’hôtel doté, elle, d’une excellente connexion, je cherchais un documentaire à voir sur le site d’Arte et une chose en amenant une autre, je suis tombée sur la série The Split. Il s’agit de l’histoire d’une avocate en droit de la famille, qui gère principalement des divorces, dont le sien dans la S3. Évidemment, ça a fait écho en moi et je me suis enquillé les 3 x 6 épisodes d’une heure chacun en 5 jours. Voilà voilà.
Ces 18h de série sur ces couples qui se déchirent, se trompent, se réunissent m’ont fait réfléchir à ma propre réalité. J’ai aimé Pénélaud, et j’aurai toujours une profonde affection pour lui. C’est dur de dire à l’homme qu’on a aimé – et qu’on aime toujours (différemment) – qu’on prend une autre route. On s’écrit de temps en temps, il est toujours adorable envers moi.
L’avenir me dira si j’ai pris la bonne décision. Je pense que oui, pour notre bien-être à tous les deux.
L’avenir n’apporte pas toujours une réponse, mais le balancier peut pencher du côté du bien..
(Mes pensées philosophiques ‑ tome XXIV)